Le drone, un outil au service de la communication

Apparu durant la première décennie des années 2000, le drone civil destiné à la prise de vue fut porté par des marques telles que DJI, Parrot, Yuneec. Véritable outil de prise de vue, il apporte un nouveau regard aux productions vidéo.

Polyvalence

Le drone, à des fins de communication, est utilisé dans de nombreux secteurs d’activité. Du BTP (exemple ici) au tourisme en passant par la culture, il concède la possibilité de disposer de plans d’ensemble variés, rapidement et dans des zones difficilement accessibles pour un coût plus économique que des prises de vue aérienne par hélicoptère et/ou avion.

Mais la polyvalence du drone ne s’arrête pas au secteur d’activité mais également dans les possibilités qu’il offre : photo, vidéo, prise de vue 3D, timelapse…

Facilité d’usage

Le déploiement (de l’ouverture du sac de transport du drone au décollage de ce dernier) d’un drone est extrêmement aisé et rapide (temps de déploiement : 28 secondes) surtout pour le dernier né de la marque Parrot : l’Anafi. En résulte une réelle capacité de réactivité pour l’utilisateur et créateur de contenu. Qui plus est, les assistances au pilotage sont désormais nombreuses et peuvent garantir des prises de vues stables.

Des optiques de qualité

Aujourd’hui les drones ont la capacité de filmer en 4K à 30 images par seconde et certains intègrent un capteur d’1 pouce, de quoi capter une grande quantité de lumière et de disposer de clichés de qualité. Cette aptitude à capter des photos de haute qualité peuvent être alors utilisées sur de multiples support : print, web,…

Un coût réduit

La prise de vue aérienne est longtemps restée une activité coûteuse de par les contraintes techniques imposées par les aéronefs (hélicoptère, avions,…) : carburant, assurance, main d’œuvre mécanicien et pilote,…

La prestation de prise de vue par drone est une prestation économique comparée aux autres aéronefs du fait du faible coût d’achat du produit et du temps de mission.

Un workflow efficace

Les médias captés par le drone peuvent-être transférés rapidement et facilement par mail,  ou sur un emplacement cloud depuis un smartphone ou une tablette dès la fin du vol. L’utilisateur peut par conséquent communiquer et interagir facilement avec ses équipes.

Si les photos/vidéos ne sont pas satisfaisantes, le redéploiement du drone ne prenant qu’une vingtaine de secondes, l’utilisateur pourra réitérer sa mission et réaliser de meilleur clichés/captations.

Une complémentarité

Dans le cadre de nombreuses productions, le drone n’est qu’un outil complémentaire de tournage. En effet, utile pour les plans généraux, il ne l’est pas pour les plans rapprochés.

Il apporte une complémentarité aux autres moyens de captation (caméras cinémas, caméras traditionnelles, caméras d’action,…), de nouvelles perspectives de créativité.

Certains équipementiers proposent aujourd’hui du matériel interopérable entre les appareils comme la marque DJI qui permet de fixer la même caméra sur un drone et un stabilisateur, de quoi réaliser des plans séquences digne du film « Les fils de l’homme » !

Cette complémentarité du drone donne de nombreuses idées aux ingénieurs qui se lancent désormais dans la création et l’industrialisation de nouveaux appareils de captation (voiture et bateau R/C, drone sous-marin,…).