Les assistants vocaux, ont-ils leur place dans les banques ?
Depuis quelques années, l’assistance vocale nous permet de lancer à distance de la musique, d’utiliser de nombreux objets connectés, ou bien encore d’obtenir des informations pratiques et détaillées par le biais de son propre téléphone portable. Cette pratique courante de notre quotidien est devenue simple, rapide et surtout efficace, remarque un responsable du Crédit agricole. Avec l’évolution des grandes avancées techniques ainsi que les réels progrès de l’intelligence artificielle, les assistants vocaux s’invitent de plus en plus au sein de nos banques. Mais ces nouveaux compagnons virtuels ont-ils leur place à la caisse régionale et plus précisément au Crédit agricole Alpes Provence ?
Les assistants vocaux, la nouvelle casquette de conseillers bancaires ?
Le Crédit agricole Alpes Provence, acteur très important dans le secteur bancaire. Cette institution financière est un pionnier dans l’innovation bancaire et surtout un pur modèle de proximité au service de ses millions de clients dans pas moins de cinquante-deux pays dans le monde.
Depuis quelque temps, de nombreux groupes financiers choisissent de faire confiance à l’intelligence artificielle en programmant au sein de leur banque, de véritables assistants vocaux. Ces derniers permettent notamment aux clients un certain nombre d’opérations bancaires telles que la consultation du solde, la demande de prêt ou bien encore le transfert d’argent qui se retrouve alors disponible 24/24 et 7j /7.
Gérer ses comptes et payer ses factures par simple commande vocale devient, pour les clients, une nouvelle possibilité qui s’offre désormais à eux. Plus besoin de retenir son code de carte bancaire, la voix peut désormais servir à effectuer un règlement. Un progrès qui se veut être considérable dans la relation client. Avec cette, toute nouvelle technologie, le secteur bancaire n’a jamais été aussi proche de son client, mais jusqu’à quel prix ?
L’opportunité de repenser la relation client ?
Aujourd’hui, les assistants vocaux sont devenus plus polyvalents, plus compétents et peuvent saisir les envies des utilisateurs grâce à leurs grandes avancées technologiques. Mais ce qui séduit avant tous les différents clients, c’est la nouvelle facilité qu’offre l’assistance vocale. De nombreuses banques voient en cette intelligence artificielle un nouveau marché à conquérir. Cela se ressent notamment à travers l’évolution grandissante des utilisateurs de téléphones mobiles. En effet, le portable devient à présent le moyen privilégié par les utilisateurs pour interagir avec leur banque. C’est un moyen rapide, simple et efficace qui gagne de plus en plus le terrain. Si ces nouveaux compagnons virtuels ont su séduire les banques américaines, ont-ils également leur place au sein de la caisse régionale ?
L’assistance vocale, l’avenir de la banque ?
La principale mission du Crédit agricole Alpes Provence est de se réinventer sans cesse pour satisfaire ses clients. Cultiver avec eux une relation de confiance et sincère.. L’assistance vocale est devenue en l’espace de quelques années seulement, un incontournable dans la finance et a permis aux banques de cibler une nouvelle catégorie de clientèle, autrement dit les utilisateurs de smartphone qui deviennent chaque jour toujours plus nombreux.
Pour répondre ainsi aux diverses attentes de ces nouveaux et surtout potentiels clients, la mise en place des assistants vocaux peut apparaître comme un outil fluide et simple à l’utilisation. En Amérique par exemple, des millions de personnes ont déjà eu recourt à ces nouveaux compagnons virtuels dans le but d’effectuer des transactions. La banque est présente à tout moment pour ces utilisateurs.
Les assistants vocaux sont notamment sollicités lors de cas plus difficile tels que des placements, des dépenses particulières et bien d’autres choses encore. L’objectif est donc de conseiller au mieux les clients tout en leur laissant complètement le choix de prendre leur décision.
Grâce au progrès de la technologie, les banques ont de nouveaux atouts pour étendre leurs offres. Mais est-ce réellement la solution ?