Google : le géant d’Internet donne dans le social
Un bref rappel en quelques chiffres
Créé par Larry Page et Sergueï Brin, le moteur de recherche Google, c’est pas moins de 60 000 milliards de pages indexées et plus d’1 milliard d’usagers des services Gmail et Gmaps.
Le même chiffre correspond aussi au nombre de vidéos mises en ligne sur la plateforme Youtube lui appartenant.
En termes d’entreprise, Google compte plus de 60 000 salariés dans 11 pays différents (chiffres mai 2016)
Un moteur de recherche, mais pas seulement
La dimension philantropique de Google…
Le géant a par exemple contribué au financement de la startup WeTechCare.
Cette dernière vise à lutter contre la précarité sociale et numérique ; en d’autres termes innover au service des défis sociaux
D’un point de vue éducation, Google dispense également des formations auprès de divers corps de métiers ( entrepreneurs, éditeurs de presse, patrons de startups, Youtubeurs etc)
Enfin, l’entreprise a offert pas moins de 3,2 milliards d’euros aux associations finalistes lors de l’évènement Google Impact Challenge
Domaines recherche et développement
La recherche et le développement sont aussi au coeur des préoccupations du géant du web. Peut-être avez vous entendu parler de ses projets futuristes
de santé comme Verily, de la domotique avec Nest. Et est-il nécessaire d’aborder la très controversée Google Car ?
Et en parlant de controverse, voyons maintenant les critiques que suscite la variété de ces activités.
…également largement critiquée
Toutes ces actions sont perçues comme un « soft power », un moyen d’emprise croissant de Google sur de
nombreux aspects de notre société (santé, éducation, culture, transports etc.)
Les détracteurs du géant affirment ainsi que ces actions sont exercés par intérêt de pouvoir sous couvert de philantropie.
La Commission Européenne accuse ainsi l’entreprise d’optimisation fiscale, concurrence déloyale et gestion douteuse de données personnelles.