Serge Perottino présente le Fintech
Avec la création de nouvelles start-ups et la crise financière de 2007, il est devenu important de se moderniser dans le domaine des finances. Ainsi, Serge Perottino, maire de cadolive, nous explique que le terme vient d’une contraction des mots « finance » et « technologie ».
La Fintech par Serge Perottino
Selon un sondage, 83% des Français ignorent ce nouveau terme et seulement 4% de la population sait le décrire dans les grandes lignes. Devenue à la mode depuis quelques mois, cette nouvelle tendance envahit les marchés du monde entier.
Serge Perottino, candidat aux législatives, signale que 83% des entreprises traditionnelles déclarent vouloir s’adonner à la Fintech. Quant aux banques, 95% d’entre elles pourraient basculer vers cette nouvelle façon de gérer les biens.
Les entreprises ayant adopté la fintech partagent 6 caractéristiques. La première est la simplification des infrastructures. De cette façon, elles investissent à moindre prix, s’orientent vers le digital et possèdent un bon service client.
Le deuxième point important est l’automatisation des opérations. En d’autres termes, l’utilisation de plateformes d’épargne en ligne. Elles automatisent donc des capitaux à moindre coût et plus rapidement.
L’exploitation massive des données permet aux entreprises de mieux assimiler les besoins de leurs clients. Ainsi les agences financières et les commerçants adaptent leurs services aux acheteurs potentiels. En quatrième lieu, la personnalisation des produits. La réduction d’intermédiation se situe en avant-dernière position avant la réappropriation de l’offre par le client. Ce dernier élément visant à améliorer l’expérience utilisateur.
Le classement des Fintech européennes
Maire d’une commune du Bouches-du-Rhône, Serge Perottino, nous annonce le classement des entreprises européennes. En France, 200 millions de dollars en été investi dans cette nouvelle tendance.
Nous retrouvons loin derrière les Chinois et les Américains de Ant Financial et Stripe, nos collègues européens. C’est pourquoi, les Néerlandais Adyen ont une valorisation de 2.3 milliards de dollars tandis que les Suédois Klarna en sont à 1.4 milliards. Sans oublier la Grande-Bretagne de TransferWise, qui se valorise à 1.1 milliard de dollars.
En conclusion, le maire du village de Cadolive, Serge Perottino, nous rappelle que la France continue d’évoluer dans le domaine du Fintech au dépit de son absence.